Le cabinet international Argon & Co, spécialisé dans la stratégie et la transformation des opérations, vient d’officialiser un partenariat avec la société de conseil française OneHive (voir NL 3295), dédiée à la transformation digitale des processus de planification et spécialiste de l’intégration d'outils EPM (Enterprise Performance Management). Fondée en 2020, elle figure d’ailleurs parmi les principaux intégrateurs français de la solution Anaplan dans le domaine de la Supply Chain (aux côtés notamment de Deloitte, Accenture, EY Adameo, Atkan, Viseo, Beyond Plans, Mews Partners et Wavestone). Dans le cadre de cet accord, Argon & Co est entré dans son capital avec une participation minoritaire (qui devrait être amenée à augmenter à l’avenir), ce qui va permettre à OneHive d’accélérer sa diversification technologique et fonctionnelle. Pour Argon & Co, c’est la possibilité d’accompagner ses clients dans leur transformation en proposant une offre intégrée alliant expertise métier et compétences techniques d’intégration. « C’est pour nous tous une nouvelle étape du projet OneHive qui démarre, orientée vers le renforcement de notre positionnement actuel en tant qu’experts de l’intégration EPM Supply Chain, mais aussi vers l’élargissement de notre offre permise par les synergies avec Argon & Co, notamment les offres en lien avec la finance » a déclaré Hugo Van Straaten, président et co-fondateur (avec Romain Lemarié) de OneHive. Son équipe d’une vingtaine de consultants dédiés à la transformation digitale des processus de pilotage, de planification et d’optimisation (prévisions des ventes, planification de la production, gestion des stocks, pricing, prévisions de trésorerie) revendique une expertise particulière dans le domaine de la mode, du retail et du luxe (notamment avec LVMH), mais aussi dans l’agroalimentaire. A noter également que la société a développé une méthode de « Green S&OP » dénommée HiveWay pour répondre aux problématiques actuelles d’incertitudes sur les approvisionnements face aux crises, d’épuisement des énergies fossiles, de pression sur la demande en électricité, d’évolution des règlementations et des technologies et de dépendances sur les matières premières. JLR