Si les entreprises peuvent réduire leur empreinte carbone en s’équipant de chariots électriques chez Fenwick-Linde, elles ont aussi la capacité de le faire en conservant leurs modèles diesel. Le constructeur d’engins vient de rappeler que ses chariots élévateurs actuels fonctionnant au diesel, mais aussi la plupart de ceux de ses séries précédentes d’une capacité de charge allant de 1,4 à 18 tonnes, étaient tous compatibles avec le biocarburant HVO (Hydrotreated Vegetable Oil, ou huile végétale hydrotraitée). Fabriqué avec des huiles hydrotraitées issues de graisses animales, de divers déchets ou encore d’huiles végétales, ce carburant synthétique émet jusqu’à 90 % d’émissions de CO2 en moins par rapport au diesel ‘fossile’ (jusqu’à - 30 % pour les particules fines et - 9 % pour les Nox). « Nous donnons à nos clients la possibilité de réduire massivement leur empreinte carbone sans investir un seul euro dans une nouvelle infrastructure », souligne Tasleem Mowlah, chef de produit chariots frontaux chez Fenwick-Linde. Légèrement plus cher que le diesel ‘fossile’, le HVO a aussi l’avantage de pouvoir être mélangé avec ce dernier dans n’importe quelle proportion. AD