Le ton a un peu changé depuis leur déclaration commune
de lundi (voir NL n°2503), qui avait plutôt tendance à relativiser le problème de blocage des dépôts de carburant en Ile-de-France. Dans un nouveau communiqué de ce matin, les organisations patronales TLF et FNTR continuent à rappeler que la majorité des conducteurs d'entreprises de transport d'hydrocarbures n'est pas en grève, mais s'inquiètent du fait que les entreprises et conducteurs sont mobilisés pour assurer la continuité des approvisionnements des stations-services « sont victimes d'opérations d'intimidation (violences verbales et menaces physiques, jets de pierre sur les véhicules, etc.) par une minorité de syndicalistes dont certains n'appartiennent même pas au secteur des transports ». Elles exigent « que toutes les mesures nécessaires soient prises sans délai pour que ces troubles à l'ordre public cessent et que les personnels non-grévistes soient protégés », en précisant que « les revendications de la CGT sont déjà traitées dans le chantier de négociation sur les classifications conventionnelles dont le calendrier est fixé de longue date ». JLR
de lundi (voir NL n°2503), qui avait plutôt tendance à relativiser le problème de blocage des dépôts de carburant en Ile-de-France. Dans un nouveau communiqué de ce matin, les organisations patronales TLF et FNTR continuent à rappeler que la majorité des conducteurs d'entreprises de transport d'hydrocarbures n'est pas en grève, mais s'inquiètent du fait que les entreprises et conducteurs sont mobilisés pour assurer la continuité des approvisionnements des stations-services « sont victimes d'opérations d'intimidation (violences verbales et menaces physiques, jets de pierre sur les véhicules, etc.) par une minorité de syndicalistes dont certains n'appartiennent même pas au secteur des transports ». Elles exigent « que toutes les mesures nécessaires soient prises sans délai pour que ces troubles à l'ordre public cessent et que les personnels non-grévistes soient protégés », en précisant que « les revendications de la CGT sont déjà traitées dans le chantier de négociation sur les classifications conventionnelles dont le calendrier est fixé de longue date ». JLR