Après une phase d'incertitudes marquée notamment par son redressement judiciaire (Cf. NL n°2415) Matrix-Sync vient de trouver un repreneur. C'est Transitic, spécialiste des solutions de tri, manutention et stockage automatisés, qui finalise l'acquisition de cette société spécialisée dans le déploiement de logiciels dédiés à la Supply Chain et au e-commerce. Ensemble, Frédéric Weber (PDG de Transitic) et Matthieu Torras (PDG de Matrix-Sync) souhaitent proposer au marché, une plateforme qui comprend tous les composants d'un flux e-commerce et qui synchronise toutes les opérations depuis la prise de commandes via une boutique en ligne, jusqu'à la livraison au client final.
« Avec OpenWCS, lancée l'année dernière, nous avions déjà fait le pari d'une technologie ouverte et d'une solution de pilotage et de supervision à distance des entrepôts automatisés », indique Frédéric Weber. « Avec Flux-Sync, nous avions déjà constitué pour nos clients un catalogue de composants Supply Chain et travaillé à l'automatisation du paramétrage de nos solutions », indique pour sa part Matthieu Torras. « Les nouvelles technologies tels que le smart data, les machines connectées, la maintenance prédictive et la digitalisation des processus permettront d'avoir des outils de production plus flexibles, plus personnalisables tout en réduisant les temps d'exécution et donc les coûts », conclut-il. JPG
« Avec OpenWCS, lancée l'année dernière, nous avions déjà fait le pari d'une technologie ouverte et d'une solution de pilotage et de supervision à distance des entrepôts automatisés », indique Frédéric Weber. « Avec Flux-Sync, nous avions déjà constitué pour nos clients un catalogue de composants Supply Chain et travaillé à l'automatisation du paramétrage de nos solutions », indique pour sa part Matthieu Torras. « Les nouvelles technologies tels que le smart data, les machines connectées, la maintenance prédictive et la digitalisation des processus permettront d'avoir des outils de production plus flexibles, plus personnalisables tout en réduisant les temps d'exécution et donc les coûts », conclut-il. JPG