La protection de la santé des consommateurs s’arrête-t-elle à la porte du camion ? La réponse est évidente, mais les externalités négatives de la chaîne de distribution, hormis les émissions CO2, sont étonnamment absentes des débats. Les entreprises ont pourtant les moyens de les mesurer précisément pour tendre vers un transport bio.
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant
Déjà abonné ? Identifiez-vous

Une fraise bio mal transportée reste-t-elle bio ?
Crédit photo Philippe Mangeard