Après Paris et Lyon, Nantes vient de délocaliser son marché d’intérêt national (MIN) à sa périphérie, pour y transférer à la place son CHU. Ces besoins en foncier pour d’autres usages se retrouvent aussi à Nice. Mais Marseille, Toulouse et Bordeaux font le choix de consolider les sites existants en ville, tout en réfléchissant aux questions des flux de camions et de la logistique du dernier kilomètre.
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant
Déjà abonné ? Identifiez-vous

Les MIN au cœur des enjeux de flux urbains
Crédit photo Vincent Lepercq